LinkedIn possède donc une base de données très intéressante:
- elle sait à tout moment où travaillent ses 20+ millions de membres en provenance de 150 industries différentes
- elle connaît en plus l'historique de leur parcours
Pour vous faire une idée, voir l'exemple ci-après publié par le blog Linkedin sur Google [cliquer l'image pour la grossir]
[Autres exemple: Facebook, Apple, etc... - Note: il faut être identifié sur le système pour voir ces profils¨]
Cela a permis a Louis Gray de compiler un tableau de synthèse riche d'enseignements sur les entreprises en vogue de l'Internet
Dans le monde professionnel, il y a donc de plus en plus une transparence directe et explicite livrée par les CEOs des sociétés comme J. Schwartz, ceo de Sun. Mais elle se conjugue aussi désormais à une transparence indirecte et implicite par l'agrégation intelligente des données livrées par les "micro-producteurs de contenus" que nous sommes tous devenus.
Cette transparence involontaire et indirecte sera-t-elle toujours souhaitée par les sociétés ? Je pense que non et donc que l'on aura prochainement des débats juridiques sur ces thèmes...
En effet, on va toujours un cran plus loin dans cette "transparence de notre société" (mon boss pense lui que c'est une tendance de plus en plus effrénée de notre société moderne à de nouvelles formes d'exhibitionnisme - au moins virtuel...):
- Google possède la "Base de Données des Intentions" de nos activités Online
- LinkedIn publie maintenant la "Compilation des Actions" (de recrutement)
- NoteTonEntreprise lance le "Cahier des Notations" d'entreprises
Faut-il donc croire tout ce qu'on lit, sur LinkedIn et ailleurs?
Source: blog Media & Tech (par didier durand)