billet original:
En réponse à l'article de Nature qui trouvait une qualité d'articles très proches à Wikipedia et Britannica, l'éditeur de Britannica s'est lancé dans une contre-analyse minutieuse.
Sa conclusion est cinglante:
"Nature’s research was invalid. As we demonstrate below, almost everything about the journal’s investigation, from the criteria for identifying inaccuracies to the discrepancy between the article text and its headline, was wrong and misleading. Dozens of inaccuracies attributed to the Britannica were not inaccuracies at all, and a number of the articles Nature examined were not even in the Encyclopædia Britannica. The study was so poorly carried out and its findings so error-laden that it was completely without merit. We have produced this document to set the record straight, to reassure Britannica’s readers about the quality of our content, and to urge that Nature issue a full and public retraction of the article"
Cette étude de 20 pages aboutissant à la demande de rétraction complète et publique de l'article de Nature a déjà une réponse! En effet, sur son site, Nature affirme qu'il continue à considérer l'étude comme valide et que l'article correspondant ne sera pas retiré.
Y aura-t-il un prochain épisode "épidermique" à cette mini-saga entre la vénérable et respectée Britannica et la jeune et fougueuse, Wikipedia, emblème du Web 2.0?Peut-être... Mais, pour le plus long terme, je fais le même pronostic que celui que j'ai fait sur le blog "La Révolte du Pronetariat" pour le monde des médias de presse: la collaboration "synergétique" prêchée par Reuters et optimisant les forces de chacun - comme pour BleuBlog ou Verdens Gang - finira par supplanter le conflit de générations ... pour le bien de tous les citoyens, pronétaires ou pas!
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