Cela n'a pas traîné: quelques heures seulement après l'annonce de Skype 4.0 pour iPhone, Deutsche Telekom annonce qu'elle bloquera ce trafic vocal sur IP.
Le prétexte est totalement fallacieux: il s'agit selon le communiqué officiel de protéger les performances de son réseau GSM / 3G contre cet ogre de bande passante.
En effet, Skype a très clairement annoncé que les communications vocales de la version 4.0 Mobile pour iPhone ne pourrait passer que par le wifi. "Calls on Skype for iPhone work only if you're in range of a Wi-Fi network, so your call quality will in part be at the mercy and strength of wireless networks nearby--calls will not work over the cell phone network on the iPhone"
Conclusion: la menace de Skype pour le revenu des opérateurs est sûrement beaucoup plus directe et massive que je ne l'écrivais.
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
lundi, mars 30, 2009
Iphone / Ipod Touch + Skype 4.0 = 30 millions de téléphones mobiles gratuits
Avec l'annonce officielle de Skype 4.0 pour iPhone, les fabricants de combinés poursuivent leur émancipation face aux opérateurs mobiles.
Le mouvement a commencé avec Nokia il y a 4 ans quand ce constructeur a placé une interface wifi dans ses téléphones. Il a ainsi clairement annoncé que l'opérateur (qui le plus souvent subventionne - largement - ce combiné) n'aurait plus accès à l'intégralité des revenus potentiellement issus d'un téléphone.
Aujourd'hui, ce mouvement se poursuit avec Apple qui fait la nique à ses mêmes opérateurs (tellement chouchoutés quand il fallait lancer l'iPhone...) en ayant validé pour l'AppStore cette nouvelle version de Skype (gratuite): elle va permettre aux 17 millions d'iPhone déjà vendus de faire passer des communications téléphoniques par le réseau wifi.
C'est une double perte pour les opéateurs car les utilisateurs vont:
Cette érosion des revenus est certes minimale à ce jour car pratiquée seulement par une population très "initiée".
Mais, projetons-nous dans 5 ans et on voit alors tout de suite pourquoi les opérateurs cherchent tellement à nous vendre des forfaits tout compris (abonnement + communications vocales + données + Internet) leur assurant un revenu très prédictible, protégé de ces nouveaux canaux gratuits!
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
Le mouvement a commencé avec Nokia il y a 4 ans quand ce constructeur a placé une interface wifi dans ses téléphones. Il a ainsi clairement annoncé que l'opérateur (qui le plus souvent subventionne - largement - ce combiné) n'aurait plus accès à l'intégralité des revenus potentiellement issus d'un téléphone.
Aujourd'hui, ce mouvement se poursuit avec Apple qui fait la nique à ses mêmes opérateurs (tellement chouchoutés quand il fallait lancer l'iPhone...) en ayant validé pour l'AppStore cette nouvelle version de Skype (gratuite): elle va permettre aux 17 millions d'iPhone déjà vendus de faire passer des communications téléphoniques par le réseau wifi.
C'est une double perte pour les opéateurs car les utilisateurs vont:
- faire passer gratuitement leurs communications vers les autres utilisateurs de Skype où qu'ils soient dans le monde
- faire passer leurs communications vers des non-skypiens par SkypeOut, le moteur des revenus de Skype, pour bénéficier de tarifs nationaux et internationaux à des tarifs défiant toute concurrence.
Cette érosion des revenus est certes minimale à ce jour car pratiquée seulement par une population très "initiée".
Mais, projetons-nous dans 5 ans et on voit alors tout de suite pourquoi les opérateurs cherchent tellement à nous vendre des forfaits tout compris (abonnement + communications vocales + données + Internet) leur assurant un revenu très prédictible, protégé de ces nouveaux canaux gratuits!
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
vendredi, mars 27, 2009
Google dans le monde: parts de marché par pays
Zorgloob a publié une table dont le contenu est assez incroyable pour moi sur les parts de marché de Google dans le monde pour les services de moteur de recherche.
Ce billet est publié ici à titre d'archives personnelles (que je partage volontiers avec vous....): c'est un des buts de ce blog.
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
Pays | PdM | Date | Institut |
Allemagne | 93,0% | mars 2008 | |
Argentine | 89,0% | janv. 2008 | comScore |
Australie | 87,8% | juin 2008 | Hitwise |
Autriche | 88,0% | janv. 2008 | comScore |
Belgique | 95,0% | mars 2009 | comScore |
Brésil | 89,0% | janv. 2008 | comScore |
Bulgarie | 80,0% | déc. 2007 | Multilingual search |
Canada | 78,0% | janv. 2008 | comScore |
Chili | 93,0% | janv. 2008 | comScore |
Chine | 26,6% | oct. 2008 | iResearch |
Colombie | 91,0% | janv. 2008 | comScore |
Corée du Sud | 3,0% | janv. 2009 | |
Danemark | 92,0% | janv. 2008 | comScore |
Espagne | 93,0% | janv. 2008 | comScore |
Estonie | 53,4% | juil. 2008 | Gemius SA |
États-Unis | 63,3% | sept. 2009 | comScore |
États-Unis | 72,1% | sept. 2009 | Hitwise |
Finlande | 92,0% | janv. 2008 | comScore |
France | 91,2% | févr. 2009 | AT Internet Institute |
Hong Kong | 26,0% | janv. 2008 | comScore |
Hongrie | 96,0% | août 2008 | |
Inde | 81,4% | août 2008 | comScore |
Irlande | 76,0% | janv. 2008 | comScore |
Islande | 51,0% | déc. 2007 | |
Israël | 80,0% | janv. 2007 | |
Italie | 90,0% | févr. 2009 | |
Japon | 38,2% | janv. 2009 | Nielsen/NetRatings |
Lettonie | 98,0% | juil. 2008 | Gemius SA |
Lituanie | 98,2% | sept. 2008 | Gemius SA |
Malaisie | 51,0% | janv. 2008 | comScore |
Mexique | 88,0% | janv. 2008 | comScore |
Norvège | 81,0% | janv. 2008 | comScore |
Nouvelle-Zélande | 72,0% | janv. 2008 | comScore |
Pays-Bas | 95,0% | déc. 2008 | |
Pologne | 89,3% | sept. 2007 | Gemius SA |
Porto Rico | 57,0% | janv. 2008 | comScore |
Portugal | 94,0% | janv. 2008 | comScore |
République Tchèque | 34,5% | mars 2009 | |
Roumanie | 95,2% | mars 2009 | statcounter.com |
Royaume-Uni | 90,4% | déc. 2008 | Hitwise |
Russie | 32,0% | janv. 2008 | Spylog |
Singapour | 57,0% | janv. 2008 | comScore |
Slovaquie | 75,6% | déc. 2007 | |
Suède | 80,0% | janv. 2008 | comScore |
Suisse | 93,0% | janv. 2008 | comScore |
Taiwan | 18,0% | janv. 2008 | comScore |
Ukraine | 72,4% | févr. 2009 | Bigmir-Internet |
Vénézuela | 93,0% | janv. 2008 | comScore |
Cette table matérialise sans conteste la première des trois hégémonies de Google.... surtout quand on ajoute que sa filiale Youtube est maintenant le deuxième moteur de recherche sur la planète, devant Yahoo.
Ce billet est publié ici à titre d'archives personnelles (que je partage volontiers avec vous....): c'est un des buts de ce blog.
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
jeudi, mars 26, 2009
Récession et coupes budgétaires = Open Source sur Intel dans les entreprises
"La crise actuelle réunirait donc des caractéristiques susceptibles de rendre Linux plus séduisant aux yeux des DSI en quête de coupes budgétaires. Pour les 330 entreprises et administrations de plus de 100 employés interrogées par IDC, le climat économique serait effectivement un facteur favorable à l'OS Open Source. 53% des personnes interrogées envisagent ainsi d'accroître l'adoption de Linux sur des serveurs, et 48% pour le poste de travail" dit cet article de ZdNet.
Pour moi, c'est limpide car c'est sur cet unique argument que j'ai basé tout l'argumentaire de conviction à l'intention de mon management quand j'ai lancé le projet NACA de migration de notre mainframe vers Linux et Java. Nous étions à ce moment dans une situation similaire bien que moins pire qu'aujourd'hui: c'était l'éclatement de la bulle Internet.
l'Open Source a clairement plein d'autre vertus: qualité, performances, ouverture, fiabilité, etc... Sans parler des droits fondamentaux de cette philosophie: droits d'exécuter, d'étudier, de modifier, de redistribuer les programmes.
Mais, le seul argument percutant en faveur de l'Open Source au niveau d'une entreprise en plein marasme, ce sont les espèces sonnantes et trébuchantes qui sont à économiser par migration vers l'Open Source et du matériel très standard comme les serveurs Intel.
Des benchmarks internes multiples à l'époque couplés à des lectures externes nous montraient que les processeurs Intel étaient très puissants par rapport aux machines dites "haut de gamme".... 5 ans plus tard grâce à la loi de Moore et à la puissance quasi-monopolistique d'Intel qui peut mettre plus d'ingénieurs que n'importe quel autre fondeur pour la prochaine génération de puces, la puissance de son architecture de processeur ne se discute même plus. Il n'y à mon avis aujourd'hui pas de raison de construire un SI avec autre chose: la philosophie Google des machines à 1'000 dollars pour ces 2 millions de serveurs n'en est-elle pas une preuve bien vivante?
Donc, si vous voulez lancer comme Publicitas une migration massive de vos systèmes administratifs / commerciaux centraux vers l'Open Source, mon conseil : calculez les millions d'euros (env 3 par an pour nous) que vous économiserez ainsi chaque année quand vos systèmes seront sous Linux puis ne communiquez plus qu'autour de cela auprès de votre management!
Cela donne un projet très objectif et mesurable. Il obtient ainsi le soutien de la direction toujours plus sensible à ces données pécunières qu'aux vertus d'une certaine philosophie de développement logiciel.
Ce soutien peut ensuite durer longtemps car le management est progressivement de plus en plus motivé à poursuivre le projet quand il voit des tranches se réaliser (arrêt de sous-systèmes) qui conduisent à des économies intermédiaires significatives qui autofinancent le projet de migration.
Pour faire bonne mesure, je vous conseille la lecture du papier très riche de T. Noisette qui détaille les énormes économies annuelles de la Gendarmerie Nationale par son passage à l'Open Source. La présentation officielle à ce sujet est ici.
J'avais défendu cet argument fondamentalement économique à Mont-De-Marsan aux RMLL 2008, je le répéterai haut et fort semaine prochaine à Solutions Linux 2009 à Paris.
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
Pour moi, c'est limpide car c'est sur cet unique argument que j'ai basé tout l'argumentaire de conviction à l'intention de mon management quand j'ai lancé le projet NACA de migration de notre mainframe vers Linux et Java. Nous étions à ce moment dans une situation similaire bien que moins pire qu'aujourd'hui: c'était l'éclatement de la bulle Internet.
l'Open Source a clairement plein d'autre vertus: qualité, performances, ouverture, fiabilité, etc... Sans parler des droits fondamentaux de cette philosophie: droits d'exécuter, d'étudier, de modifier, de redistribuer les programmes.
Mais, le seul argument percutant en faveur de l'Open Source au niveau d'une entreprise en plein marasme, ce sont les espèces sonnantes et trébuchantes qui sont à économiser par migration vers l'Open Source et du matériel très standard comme les serveurs Intel.
Des benchmarks internes multiples à l'époque couplés à des lectures externes nous montraient que les processeurs Intel étaient très puissants par rapport aux machines dites "haut de gamme".... 5 ans plus tard grâce à la loi de Moore et à la puissance quasi-monopolistique d'Intel qui peut mettre plus d'ingénieurs que n'importe quel autre fondeur pour la prochaine génération de puces, la puissance de son architecture de processeur ne se discute même plus. Il n'y à mon avis aujourd'hui pas de raison de construire un SI avec autre chose: la philosophie Google des machines à 1'000 dollars pour ces 2 millions de serveurs n'en est-elle pas une preuve bien vivante?
Donc, si vous voulez lancer comme Publicitas une migration massive de vos systèmes administratifs / commerciaux centraux vers l'Open Source, mon conseil : calculez les millions d'euros (env 3 par an pour nous) que vous économiserez ainsi chaque année quand vos systèmes seront sous Linux puis ne communiquez plus qu'autour de cela auprès de votre management!
Cela donne un projet très objectif et mesurable. Il obtient ainsi le soutien de la direction toujours plus sensible à ces données pécunières qu'aux vertus d'une certaine philosophie de développement logiciel.
Ce soutien peut ensuite durer longtemps car le management est progressivement de plus en plus motivé à poursuivre le projet quand il voit des tranches se réaliser (arrêt de sous-systèmes) qui conduisent à des économies intermédiaires significatives qui autofinancent le projet de migration.
Pour faire bonne mesure, je vous conseille la lecture du papier très riche de T. Noisette qui détaille les énormes économies annuelles de la Gendarmerie Nationale par son passage à l'Open Source. La présentation officielle à ce sujet est ici.
J'avais défendu cet argument fondamentalement économique à Mont-De-Marsan aux RMLL 2008, je le répéterai haut et fort semaine prochaine à Solutions Linux 2009 à Paris.
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
vendredi, mars 20, 2009
Javascript: le nerf de la la guerre des browsers. Pourquoi?
Avec son site Chrome Experiment, Google met en avant la supériorité de son navigateur Chrome dans les performances Javascript. La fondation Mozilla le fait également régulièrement: voir le blog de Tristan.
Pourquoi ?
Si l'on fait la synthèse de ces caractéristiques, je ne trouve que Javscript qui réponde au mieux à toutes. J'exclus d'entréee Flash et Silverlight à cause de leur côté propriétaire qui les empêche de satisfaire certains points ci-dessus.
Seul hic: Javasript est un langage interprété donc "flexible". Il n'y qu'un pas pour transformer cette flexiblité en un chaos insupportable, surtout dans le travail en équipe...
[Je suis intéressé par vos analyses d'autres langages meilleurs que JS dans la satisfaction simultanée de toutes ces contraintes!]
Pour ceux qui pensent (encore) que Javacript n'est bon qu'à ajouter de mignonnes petites animations à leurs pages web, je leur conseille de regarder des frameworks comme GWT de Google, Dojo ou ZK pour découvrir différentes approches maximisant l'étendue des vraies possibilités professionnelles de Javascript....
Tout ceci pour dire que l'on va donc charger et faire exécuter des applications Javacript de plus en plus énormes dans nos navigateurs.
Ouvrir la bataille de la différentiation sur le terrain des performances Javascript est donctrès judicieux.
[PS à mes lecteurs non-technophiles: j'avais aujourd'hui envie d'un billet "dans les bits"...]
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
Pourquoi ?
- Parce que l'on se dirige tout doucement vers le Cloud Computing intégral où tout est stocké dans le réseau y compris le code front-end et back-end
- Parce que ce code applicatif est alors téléchargé en live sur le client au moment où l'application est activée. C'est la fameuse "empreinte nulle" (sur le disque dur - "zero footprint" en bon jargon) de l'application elle-même et de ses pré-requis. Il s'agit que l'application puisse fonctionner le plus localement possible voire en mode déconnecté comme Google Docs ou Google Calendar
- Parce que le client qui active cette application est le plus souvent inconnu et hors de contrôle (il arrive par Internet) de la société qui publie l'application. A l'époque du self-service (i.e de l'efficacité / économie à tout crin), il faut que ce soit l'utilisateur externe qui fasse le boulot. Pour que cela fonctionne, il ne faut imposer aucun pré-requis complexe d'installation
- Parce que cet utilisateur externe doit malgré tout avoir accès à une interface graphique riche (les fameuses RIA) pour donner une bonne image et soigner aussi la productivité de cette source externe de travail non rémunéré
- Parce que les développeurs de cette application doivent pouvoir travailler à un niveau de productivité élevé (orientation objet, support des IDEs, etc...)
- nativement embarqué dans tous les browsers standards du marché
- utilisable par des programmes arrivant en temps réel par le réseau
- offrir l'accès intégral aux structures HTML rendues par le navigateur et au système back-end par un mécanisme RPC performant (le XHR, partie critique d'AJAX inventée par Microsoft pour Outlook)
- doté d'une riche palette d'outillage sur Eclipse, Netbeans, etc.... et de techniques de programmation avancée (objets, prototypes, etc...)
- ouvert pour fonctionner fluidement avec l'ensemble des extensions, plus-ins et autres add-ons qui sont souvent déterminants dans la maximisation de la productivité retirée d'un browser ou l'autre
Si l'on fait la synthèse de ces caractéristiques, je ne trouve que Javscript qui réponde au mieux à toutes. J'exclus d'entréee Flash et Silverlight à cause de leur côté propriétaire qui les empêche de satisfaire certains points ci-dessus.
Seul hic: Javasript est un langage interprété donc "flexible". Il n'y qu'un pas pour transformer cette flexiblité en un chaos insupportable, surtout dans le travail en équipe...
[Je suis intéressé par vos analyses d'autres langages meilleurs que JS dans la satisfaction simultanée de toutes ces contraintes!]
Pour ceux qui pensent (encore) que Javacript n'est bon qu'à ajouter de mignonnes petites animations à leurs pages web, je leur conseille de regarder des frameworks comme GWT de Google, Dojo ou ZK pour découvrir différentes approches maximisant l'étendue des vraies possibilités professionnelles de Javascript....
Tout ceci pour dire que l'on va donc charger et faire exécuter des applications Javacript de plus en plus énormes dans nos navigateurs.
Ouvrir la bataille de la différentiation sur le terrain des performances Javascript est donctrès judicieux.
[PS à mes lecteurs non-technophiles: j'avais aujourd'hui envie d'un billet "dans les bits"...]
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
mercredi, mars 18, 2009
iPhone: maintenant en orchestre après l'ocarina en solo
L'équipe de Smule qui est monté au pinacle de l'AppStore de l'iPhone avec son ocariniphone récidive:
à l'occasion de l'annonce de l'iPhone 3.0 (les détails chez ElectronLibre) au quartier général d'Apple, elle a fait une démo (bêta....) d'un futur produit qui transforme l'expérience solo (mais communautaire...) de l'ocariniphone en jeu en ligne massivement multi-joueur (MMPOG). Dans cette vidéo, imaginez vous des lieux différents pour les "musiciens" qui reçoivent de plus leur partition en temps réel sur l'Iphone au lieu du mode statique de l'ocarina:
On se dirige donc vers l'orchestre giga-symphonique (... ou cacophonique?) distribué sur la planète, "propulsé" par l'iPhone.
A quand ses prestations revendues sur iTunes, eldorado de la musique libre (je blague...): Steve Jobs ne serait pas contre pour autant que les titres grimpent au top du hit-parade....
Toute blague à part, je reste fasciné par le développement de cette innovation: on part d'un "petit rien" fun et on se dirige ensuite gentiment vers un pan entièrement nouveau du divertissement collectif. Après les soirées Wii entre amis, on se dirige vers les soirées à la Rockband ou Guitar Hero mais avec l'iPhone comme console de jeux...
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
à l'occasion de l'annonce de l'iPhone 3.0 (les détails chez ElectronLibre) au quartier général d'Apple, elle a fait une démo (bêta....) d'un futur produit qui transforme l'expérience solo (mais communautaire...) de l'ocariniphone en jeu en ligne massivement multi-joueur (MMPOG). Dans cette vidéo, imaginez vous des lieux différents pour les "musiciens" qui reçoivent de plus leur partition en temps réel sur l'Iphone au lieu du mode statique de l'ocarina:
On se dirige donc vers l'orchestre giga-symphonique (... ou cacophonique?) distribué sur la planète, "propulsé" par l'iPhone.
A quand ses prestations revendues sur iTunes, eldorado de la musique libre (je blague...): Steve Jobs ne serait pas contre pour autant que les titres grimpent au top du hit-parade....
Toute blague à part, je reste fasciné par le développement de cette innovation: on part d'un "petit rien" fun et on se dirige ensuite gentiment vers un pan entièrement nouveau du divertissement collectif. Après les soirées Wii entre amis, on se dirige vers les soirées à la Rockband ou Guitar Hero mais avec l'iPhone comme console de jeux...
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
mardi, mars 17, 2009
Publicité dans Google News: un pas de plus ... mais partage!
La publicité fait un pas de plus dans Google News: elle entre aujourd'hui dans les article que Google héberge sur son propre site pour le compte de ses partenaires comme AP ou AFP (qui lui fait en parallèle des procès).
"Un pas de plus" car la première de ces avancées a été faite il y a quelques semaines avec l'insertion de publicité dans les résultats de recherche sur Google News.
Ce terrain de la publicité plaquée sur des contenus créés par d'autres reste "miné" autour du partage des revenus résultants. En effet, en France, par exemple, Le président du groupement des éditeurs en ligne (GESTE) Philippe Janet a récemment déclaré: "....Nous considérons que Google est devenu trop puissant et gêne énormément le marché.... si Google décide d'étendre à la France son expérience [Google News] américaine, le risque pour nous, c'est que les annonceurs s'arrêtent aux pages de Google sans aller jusqu'à nos sites".
L'annonce de ce jour va quelque peu détendre l'atmosphère: Google partage ces revenus Google News. Il écrit: "we're always looking for ways to work with publishers to help them distribute, promote, and earn revenue from their content, whether they maintain their own destination website or not."
Donc, il va leur donner une partie de ces nouveaux revenus mais la deuxième partie de la phrase montre qu'il est pleinement conscient des conséquences de son service Google News: il est à la source de la ré-intermédiation du 4ème Pouvoir.
Réaction plus cinglante encore du GESTE à prévoir ? ....
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
"Un pas de plus" car la première de ces avancées a été faite il y a quelques semaines avec l'insertion de publicité dans les résultats de recherche sur Google News.
Ce terrain de la publicité plaquée sur des contenus créés par d'autres reste "miné" autour du partage des revenus résultants. En effet, en France, par exemple, Le président du groupement des éditeurs en ligne (GESTE) Philippe Janet a récemment déclaré: "....Nous considérons que Google est devenu trop puissant et gêne énormément le marché.... si Google décide d'étendre à la France son expérience [Google News] américaine, le risque pour nous, c'est que les annonceurs s'arrêtent aux pages de Google sans aller jusqu'à nos sites".
L'annonce de ce jour va quelque peu détendre l'atmosphère: Google partage ces revenus Google News. Il écrit: "we're always looking for ways to work with publishers to help them distribute, promote, and earn revenue from their content, whether they maintain their own destination website or not."
Donc, il va leur donner une partie de ces nouveaux revenus mais la deuxième partie de la phrase montre qu'il est pleinement conscient des conséquences de son service Google News: il est à la source de la ré-intermédiation du 4ème Pouvoir.
Réaction plus cinglante encore du GESTE à prévoir ? ....
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
vendredi, mars 13, 2009
Open Source = dictature (altruiste) <> Réseaux sociaux = démocratie
Je trouve fort intéressant le parallèle de Chris Anderson (père de la Longue Traîne):
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
- L'Open Source: ce n'est pas la forme d'Emergence (i.e. auto-organisation à partir du chaos initial) qui est celle que l'on a souvent l'impression initiale de constater. C'est plutôt une dictature "bienveillante" avec un leader (ou deux) qui articule la vision d'un besoin qu'il satisfait égoïstement et progressivement en écrivant les premières versions de son logiciel puis en s'adjoignant progressivement le concours de lieutenant sélectionnés par la méritocratie des contributeurs découverts via Internet. Il leur attribue des rôles bien délimités et garde le contrôle. Le meilleur exemple: Linus Torvald avec Linux
- Les réseaux sociaux, c'est une démocratie. L'auto-organisation progressive de ces réseaux n'est dans le but d'atteindre un objectif unique mais de satisfaire au mieux (en moyenne) les besoins des inidividus qui le composent. Sa pérennité est à ce prix: le cuisant et récent retour en arrière de Facebook en est la meilleure preuve. L'atteinte trop rapide de l'objectif clairement lucratif du créateur ne correspond pas aux besoins de la communauté qui lui permet d'exister et qui utilise ce réseau pour satisfaire ses propres besoins en veillant au respect de sa sphère privée. Le fameux noeud gordien des sites communautaires !
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
mercredi, mars 11, 2009
Aboutissement pour Google: ciblage comportemental pour ses publicités!
Complément: suite à échange avec Sabrina de l'agence Oxygen, RP de Google en France, pour la bonne lecture de mon billet ci-dessous, je tiens à préciser que je ne sous-entends absolument pas que Google analyse mon contenu dans ses services (emails Gmail, news dans Reader, etc...) pour définir mes intérêts mais seulement qu'il peut utiliser ces moments de contacts (en particulier lors de la connexion) avec ses services pour placer les cookies qui servent ensuite à pister l'internaute à travers les sites de son réseau Adsense pour "agréger" ses intérêts définis par le type de contenus publiés par ces divers sites . C'est conforme à ce qui est décrit dans cette page Google à propos de "sphère privée et services publicitaires".
Billet original:
Sans jamais utiliser les mots "behavorial targeting" dans son billet de lancement, Google annonce aujourd'hui une expérience de ciblage conportemental sur Youtube et sur les centaines de milliers (millions ?) de sites Adsense.
Le ciblage comportemental, késako ? Eh bien, c'est utiliser les informations connues sur le profil de l'utilisateur à travers ses visites sur d'autres sites Adsense et sur le moteur Google lui-même, en plus du contenu de la page affichée, pour diffuser des publicités mieux ciblées par rapport à cet utilisateur.
Le "ciblage parfait" est vital pour Google: en mode pay-per-click, les publicités affichées mais non cliquées sont du travail gaché!
Le terme que Google utilise pudiquement pour cette nouvelle forme publicitaire est "la publicité basée sur les intérêts". Les intérêts de QUI est toute la question....
Avec ce nouveau mode publicitaire où Google annonce publiquement qu'il va utiliser les profils personnels accumulés depuis des années dans sa Base de Données des Intentions pour calculer un AdRank encore plus pointu, i.e. non seulement basé sur la valeur générale / générique des publicités potentiellement affichables sur une page par rapport au contenu de cette page mais aussi basé sur sur le profil historique du visiteur à un instant t.
Il utilise clairement déjà cette Base de Données des Intentions pour une meilleure pertinence des résultats du moteur de recherche: j'ai remarqué depuis longtemps que Google ne me donne pas les mêmes résultats à certaines recherches quand je suis connecté chez lui (via Gmail par ex.) que quand je suis anonyme (i.e déconnecté).
Après une utilisation altruiste (pour mon bien), Google fait maintenant une utilisation égoiste de cette base (pour son bien) en essayant de maximiser mon taux de clic sur les annonces les plus chères censées me plaire / m'intéresser. Il va donc tenter de maximiser les revenus de son travail!
A un moment où Google annonce que ses revenus ne baisseront pas malgré la crise et les services interrompus, il faut clairement faire feu de tout bois (... quitte à violer les tabous) pour tenter de résister aux tumultes actuels.
Mais, pour rassurer le régulateur (... et peut-être encore des organisations comme l'EFF très vigilante!) par rapport à cette intrusion sérieuse (l'épée de Damoclès googlienne...) dans la sphère privée de l'internaute , Google propose un système de définition des intérêts pour ce ciblage voire d'opt-out complet.
Il faudra suivre les réaction à cette nouvelle forme publicitaire qui est pour moi un sorte d'aboutissement pour Google: la rentabilisation maximale, auprès de son million de clients-annonceurs, de l'immense réseau AdSense et de la très riche Base de Données des Intentions patiemment construits durant les 5 dernières années.
C'est un double levier qui est donc activé! Un retour de balancier juridique à l'horizon pour le minimiser ?....
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
Billet original:
Sans jamais utiliser les mots "behavorial targeting" dans son billet de lancement, Google annonce aujourd'hui une expérience de ciblage conportemental sur Youtube et sur les centaines de milliers (millions ?) de sites Adsense.
Le ciblage comportemental, késako ? Eh bien, c'est utiliser les informations connues sur le profil de l'utilisateur à travers ses visites sur d'autres sites Adsense et sur le moteur Google lui-même, en plus du contenu de la page affichée, pour diffuser des publicités mieux ciblées par rapport à cet utilisateur.
Le "ciblage parfait" est vital pour Google: en mode pay-per-click, les publicités affichées mais non cliquées sont du travail gaché!
Le terme que Google utilise pudiquement pour cette nouvelle forme publicitaire est "la publicité basée sur les intérêts". Les intérêts de QUI est toute la question....
Avec ce nouveau mode publicitaire où Google annonce publiquement qu'il va utiliser les profils personnels accumulés depuis des années dans sa Base de Données des Intentions pour calculer un AdRank encore plus pointu, i.e. non seulement basé sur la valeur générale / générique des publicités potentiellement affichables sur une page par rapport au contenu de cette page mais aussi basé sur sur le profil historique du visiteur à un instant t.
Il utilise clairement déjà cette Base de Données des Intentions pour une meilleure pertinence des résultats du moteur de recherche: j'ai remarqué depuis longtemps que Google ne me donne pas les mêmes résultats à certaines recherches quand je suis connecté chez lui (via Gmail par ex.) que quand je suis anonyme (i.e déconnecté).
Après une utilisation altruiste (pour mon bien), Google fait maintenant une utilisation égoiste de cette base (pour son bien) en essayant de maximiser mon taux de clic sur les annonces les plus chères censées me plaire / m'intéresser. Il va donc tenter de maximiser les revenus de son travail!
A un moment où Google annonce que ses revenus ne baisseront pas malgré la crise et les services interrompus, il faut clairement faire feu de tout bois (... quitte à violer les tabous) pour tenter de résister aux tumultes actuels.
Mais, pour rassurer le régulateur (... et peut-être encore des organisations comme l'EFF très vigilante!) par rapport à cette intrusion sérieuse (l'épée de Damoclès googlienne...) dans la sphère privée de l'internaute , Google propose un système de définition des intérêts pour ce ciblage voire d'opt-out complet.
Il faudra suivre les réaction à cette nouvelle forme publicitaire qui est pour moi un sorte d'aboutissement pour Google: la rentabilisation maximale, auprès de son million de clients-annonceurs, de l'immense réseau AdSense et de la très riche Base de Données des Intentions patiemment construits durant les 5 dernières années.
C'est un double levier qui est donc activé! Un retour de balancier juridique à l'horizon pour le minimiser ?....
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
lundi, mars 09, 2009
Acapela: web service de synthèse vocale multilingue et multi-locuteur à la demande
Nous étions depuis quelques temps à la recherche d'un bon service via Internet (i.e. Web service) de synthèse vocale (i.e. "text-to-speech" en bon jargon...) à la demande.
Avec le système de Acapela, nous avons trouvé ce qu'il nous faut:
Si vous cherchez un tel service, allez chez Acapela de ma part: vous devriez aussi y trouver votre bonheur vocal...
PS1: c'est un coup de pub entièrement gratuit et sans aucune contrepartie. J'ai le droit, non? Quand on aime, on ne compte pas....
PS2: merci à Jean-Luc pour sa préparation des fichiers de ce billet
Avec le système de Acapela, nous avons trouvé ce qu'il nous faut:
- un web service à travers internet simplissime: on lui donne le texte en indiquant la voix choisie (homme, femme), il rend le fichier MP3 correspondant. Donc, aucune mise en place d'infrastructure matérielle ou logicielle spécfique et un démarrage très rapide.
- des possibilités multiples de balisage du texte pour créer des silences, des accentuations, des intonations spécifiques, des changements de locuteur, etc....
- de multiples langues avec une excellente qualité de prononciation à chaque fois.
- une souplesse dans la facturation: liée à l'utilisation.
- Le corbeau et le renard (avec locuteur féminin puis masculin)
- Petit Papa Noel
- Les chaussettes de l'archiduchesse (phrase qui ne pose aucun problème à l'ordinateur...)
- Gros gras grain d'orge etc.... (idem)
Si vous cherchez un tel service, allez chez Acapela de ma part: vous devriez aussi y trouver votre bonheur vocal...
PS1: c'est un coup de pub entièrement gratuit et sans aucune contrepartie. J'ai le droit, non? Quand on aime, on ne compte pas....
PS2: merci à Jean-Luc pour sa préparation des fichiers de ce billet
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
vendredi, mars 06, 2009
E-commerce en France: chiffres 2004 - 2010
Emarketer publie un graphique fort intéressant sur l'évolution du ecommerce en France de 2004 à 2010.
Nous serons donc à environ 25 milliards d'euros de biens et services vendus au travers de l'Internet en France à la fin de cette année 2009.
Comment sont réalisés ces achats ? La FEVAD (Fédération Ecommerce et Vente A Distance) indique dans son étude du marché 2008 que 22 millions de français ont acheté sur le Net (2.5 millions de plus qu'en 2007: la population internaute progresse toujours) sur 48'500 sites marchands (+30% en 1 an) pour un total de 20 milliards d'euros en 85 millions de transactions.
Nos taux de progression sont à comparer à ceux des USA: sur un marché plus mature et sous les effets de la récession, ce marché va légèrement baisser en 2009 par rapport à 2008 avant de repartir à la hausse mais "calmement".
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
Nous serons donc à environ 25 milliards d'euros de biens et services vendus au travers de l'Internet en France à la fin de cette année 2009.
Comment sont réalisés ces achats ? La FEVAD (Fédération Ecommerce et Vente A Distance) indique dans son étude du marché 2008 que 22 millions de français ont acheté sur le Net (2.5 millions de plus qu'en 2007: la population internaute progresse toujours) sur 48'500 sites marchands (+30% en 1 an) pour un total de 20 milliards d'euros en 85 millions de transactions.
Nos taux de progression sont à comparer à ceux des USA: sur un marché plus mature et sous les effets de la récession, ce marché va légèrement baisser en 2009 par rapport à 2008 avant de repartir à la hausse mais "calmement".
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
jeudi, mars 05, 2009
Google: récession = thésaurisation
En ces temps de récession (dans les médias), Google favorise la thésaurisation: son CEO, Eric Schmidt, vient de déclarer que les bénéfices des trimestres à venir seraient très vraisemblablement mis en banque pour venir épaissir le coussin actuel de 8.7 milliards de dollars déjà mis à l'abri.
Selon E. Schmidt, les plans actuels de Google ne sont ni aux acquisitions dispendieuses ni au versement de dividendes. Par ailleurs, il annonce que malgré la récession, Google ne prévoit pas de baisse de revenus dans les trimestres à venir: on devrait rester aux 5.7 milliards (avec 1.86 milliards de bénéfice - soit 33% !) du dernier trimestre 2008. C'est bien si l'on compare à d'autres sociétés en chute libre actuellement mais c'est aussi un vrai coup de frein si l'on compare à la croissance exponentielle antérieure.
C'est vraiment de l'optimisme quand E. Schmidt prédit simultanément que toutes les formes de publicité (y.c online) sont touchées par la crise....
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
Selon E. Schmidt, les plans actuels de Google ne sont ni aux acquisitions dispendieuses ni au versement de dividendes. Par ailleurs, il annonce que malgré la récession, Google ne prévoit pas de baisse de revenus dans les trimestres à venir: on devrait rester aux 5.7 milliards (avec 1.86 milliards de bénéfice - soit 33% !) du dernier trimestre 2008. C'est bien si l'on compare à d'autres sociétés en chute libre actuellement mais c'est aussi un vrai coup de frein si l'on compare à la croissance exponentielle antérieure.
C'est vraiment de l'optimisme quand E. Schmidt prédit simultanément que toutes les formes de publicité (y.c online) sont touchées par la crise....
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
mercredi, mars 04, 2009
outils NACA: version 1.1 + forum Google Groups + hébergement Google Code
Après plus de 500 téléchargements par diverses sociétés et suite à de nombreux contacts et des questions ou demandes d'améliorations lors de la publication de la version 1.0 des outils de transcodage automatique de mainframe et Cobol vers Linux et Java de notre projet NACA, nous publions la version 1.1 de ces outils
Ils sont accessibles depuis cet article (de même que la version 1.0)
Voir les détails de la ChangeLog (livrée par Pierre-Jean) ci-dessous: il s'agit essentiellement de compléments au niveau de fichiers pour le transcodage de programmes transactionnels (moniteur transactionnel CICS).
De plus, pour ouvrir librement la discussion entre utilisateurs de ces outils, nous avons créé un forum sur Google Groups à cette adresse: http://groups.google.com/group/naca-automated-cobol-to-java-transcoding
Enfin, le projet est aussi hébergé maintenant sur Google Code à cette adresse: http://code.google.com/p/naca/
Bons essais et faites-nous part de vos expériences par email .... ou maintenant sur le forum!
Change Log - Version 1.1.0 02/03/2009
- SimulateRealEnvironment. Set it to true only to disable DB accesses. It must be set to must or removed if DB access is used.
Ils sont accessibles depuis cet article (de même que la version 1.0)
Voir les détails de la ChangeLog (livrée par Pierre-Jean) ci-dessous: il s'agit essentiellement de compléments au niveau de fichiers pour le transcodage de programmes transactionnels (moniteur transactionnel CICS).
De plus, pour ouvrir librement la discussion entre utilisateurs de ces outils, nous avons créé un forum sur Google Groups à cette adresse: http://groups.google.com/group/naca-automated-cobol-to-java-transcoding
Enfin, le projet est aussi hébergé maintenant sur Google Code à cette adresse: http://code.google.com/p/naca/
Bons essais et faites-nous part de vos expériences par email .... ou maintenant sur le forum!
Change Log - Version 1.1.0 02/03/2009
- NacaTrans: No changes
- JLib: No changes
- NacaRT:
- 1) Some missing jar files for online programs have been added.
- 2) New flags are added into nacaRT.cfg configuration file:
- SimulateRealEnvironment. Set it to true only to disable DB accesses. It must be set to must or removed if DB access is used.
- 3) CobolAppOnline: New directory; it contains standard resource definition for error and login screen. They can be customized depending on target application.
- 4) NacaSamples: New directory: It contains a sample online program. The original cobol files are in NacaSamples\cobol. The transcoded files are in NacaSamples\src. The transcoder configuration is in NacaSamples\trans It's documented in NacaSamples\NacaSample.doc
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