J'avais évoqué les débuts de la publicité click-to-call /pay-per-call sur Google il y a un an. Cet été, il est monté en régime sur le sujet dans un accord avec Skype.
J'ai raté le billet que je voulais faire sur sa récente extension à Google Maps / Google Local. Le billet de Benoît Descary explique cette mécanique.Bien m'en a pris! Google a été obligé de le retirer très vite: des petits farceurs ont utilisé - de manière très drôle quand l'observe, peut-être moins quand on le vit... - la fonction de rappel.
En effet, pour ce click-to-call, on doit laisser son numéro au commerce visé pour qu'il rappelle (cf Benoît ci-dessus) ensuite via le système automatisé de Google (qui a des brevets sur le sujet). Eh bien, des "chenapans virtuels" ont utilisé cette fonction (selon l'exemple de Techcrunch) pour faire rappeler le bureau d'un parti politique par un sex-shop (selon l'exemple de Mike Arrington). Euh, ...ou le contraire. Enfin, drôle de quiproquo dans les 2 cas!
Cela ne vous rappelle pas quelques gags téléphoniques faits à la maison en l'absence de vos parents dans votre tendre enfance? Le web 2.0 est finalement le reflet de la vie de tous les jours: il a aussi ses amateurs de "bons" gags. Et c'est très bien ainsi!...
PS: pas inquiet pour Google. Je suis sûr qu'ils vont trouver une parade et pouvoir repartir. L'enjeu est trop important (3.7 milliards de dollars en 2010)!
Source: blog Media & Tech (par didier durand)
5 commentaires:
Le web 2.0 qui se rapproche de mon enfance... un rêve devient réalité!
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perso j'ai reussi a faire venir fun radio chez moi quand j'avais 13 ans en leur faisant un canular avec un pote !
haha, et alors ?
De toutes façons le monde entier détourne toujours tout ... dès qu'une nouveauté arrive
Bah ça n'aura pas eu l'effet annoncé.
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