mercredi, novembre 22, 2006

[Fun] Google click-to-call: les (bons) farceurs du web 2.0!

J'avais évoqué les débuts de la publicité click-to-call /pay-per-call sur Google il y a un an. Cet été, il est monté en régime sur le sujet dans un accord avec Skype.

J'ai raté le billet que je voulais faire sur sa récente extension à Google Maps / Google Local. Le billet de Benoît Descary explique cette mécanique.Bien m'en a pris! Google a été obligé de le retirer très vite: des petits farceurs ont utilisé - de manière très drôle quand l'observe, peut-être moins quand on le vit... - la fonction de rappel.

En effet, pour ce click-to-call, on doit laisser son numéro au commerce visé pour qu'il rappelle (cf Benoît ci-dessus) ensuite via le système automatisé de Google (qui a des brevets sur le sujet). Eh bien, des "chenapans virtuels" ont utilisé cette fonction (selon l'exemple de Techcrunch) pour faire rappeler le bureau d'un parti politique par un sex-shop (selon l'exemple de Mike Arrington). Euh, ...ou le contraire. Enfin, drôle de quiproquo dans les 2 cas!

Cela ne vous rappelle pas quelques gags téléphoniques faits à la maison en l'absence de vos parents dans votre tendre enfance? Le web 2.0 est finalement le reflet de la vie de tous les jours: il a aussi ses amateurs de "bons" gags. Et c'est très bien ainsi!...

PS: pas inquiet pour Google. Je suis sûr qu'ils vont trouver une parade et pouvoir repartir. L'enjeu est trop important (3.7 milliards de dollars en 2010)!

Source: blog Media & Tech (par didier durand)

5 commentaires:

la mémoire a dit…

Le web 2.0 qui se rapproche de mon enfance... un rêve devient réalité!

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Anonyme a dit…

perso j'ai reussi a faire venir fun radio chez moi quand j'avais 13 ans en leur faisant un canular avec un pote !

Anonyme a dit…

haha, et alors ?

sexshop a dit…

De toutes façons le monde entier détourne toujours tout ... dès qu'une nouveauté arrive

sexshop a dit…

Bah ça n'aura pas eu l'effet annoncé.