- une modernisation importante de l'application migrée
- des économies très importantes, jusqu'à 90% des coûts initiaux.
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=== Extrait de la brochure de présentation de JSB 14 ===
NÉCESSAIRE DIALOGUE
Sans informatique, c’est une banalité de le rappeler, il n’y aurait aujourd’hui ni
banques ni banques centrales, ni sans doute marché monétaire et encore moins
de Libor.
Les banques en ligne et le Forex ne seraient que des vues de l’esprit, et le
trading automatique relèverait de la science fiction la plus délirante. Sans informa-
tique non plus il est vrai, le vol de données bancaires ou l’échange d’informations
à but fiscal seraient sinon impossibles du moins impraticables à l’échelle à laquelle,
malheureusement, il leur est arrivé – par accident, on veut le croire – de se produire.
Bref, l’informatique est désormais inscrite dans les ADN bancaires et financiers
comme elle l’est de toute activité humaine, mais là, vraiment, elle a pris une impor-
tance toute particulière, au point que l’on a pu prétendre, nous les premiers, que
la banque n’était au fond qu’un système d’information, extraordinairement com-
plexe certes, assorti de mille et une subtilités dans ses quatre ou cinq fonctions
essentielles (les métiers bancaires proprement dits, le traitement des données, les
fonctions de support), mais rien d’autre, encore une fois, qu’un concentré de tech-
nologies d’information et de communication.
A l’inverse, sans banques et sans marchés financiers, l’informatique n’aurait jamais
connu l’essor qui fut le sien au cours des cinquante dernières années, et les activités
de développement de progiciels bancaires ne représenteraient pas, aujourd’hui la
proportion qui est devenue la leur dans le produit intérieur brut des économies
avancées, Suisse en tête.
Ces deux destinées sont donc intrinsèquement liées, et tout ce qui arrive à l’une
rejaillit nécessairement sur l’autre. En l’occurrence, dans ce monde en proie à la
crise et tout occupé à recapitaliser ses banques, la nécessité urgente de réduire les
coûts pour compenser le désendettement public et les baisses de revenu qui en
découlent se traduit forcément par un rééchelonnement, quand ce n’est pas un
redimensionnement des dépenses informatiques.
De nouvelles stratégies cependant se dessinent, des façons inédites de valoriser l’outil existant prennent corps,qui rendent plus que jamais nécessaire l’échange d’expériences et le dialogue entre professionnels de la banque et éditeurs de progiciels. Ce à quoi, justement, visent les Journées Solutions Bancaires.
Source: blog Media and Tech (par didier durand)